PARIS, 15 nov 2005 (AFP) – Le tribunal de grande instance de Paris qui devait rendre mardi sa décision sur une demande de dissolution de l’Unadfi, spécialisée dans l’information sur les sectes, se prononcera le 29 novembre, a-t-on appris auprès du tribunal.

Un collectif d’avocats lié à l’association "Cap pour la liberté de conscience" a assigné l’Unadfi pour demander sa dissolution en l’accusant d’être "une police de la pensée".

Ce collectif, lié à l’association "Cap pour la liberté de conscience" qui se présente comme "un tremplin d’information et d’action pour les individus et les groupes" victimes d’une "chasse aux sorcières" anti-sectes, demande également des dommages-intérêts pour une dizaine de personnes, adhérents ou proches de mouvements comme l’Eglise de scientologie ou la secte d’inspiration
catholique Ivi, qui auraient eu à subir des préjudices liés à des dénonciations de l’Unadfi.
  

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