Dès sa fondation, le C.C.M.M. a alertés les représentants de l’Etat sur la dangerosité des pratiques des organisations sectaires. Le CCMM a dû, pendant de longues années, agir sans le concours des pouvoirs publics. Ce n’est que depuis dix ans que l’Etat et ses différents départements ministériels a pris conscience du problème et mis en œuvre une politique. Le CCMM s’en est réjouit et veille à ce que son activité s’inscrive complémentairement à celle des pouvoirs publics.
 
    Face à l’action conjuguée des deux associations nationales (CCMM et UNADFI)et des services de l’Etat, les sectes ont suscité des associations de défense  qui, avec des dénominations trompeuses et des  arguments fallacieux, tentent de désinformer l’opinion public, présentant les sectes comme des minorités religieuses victimes de discriminations… Il n’en est rien!
 
    Parce qu’il milite pour le respect des droits de l’Homme, des droits de l’enfants et des valeurs de la République dont en particulier la laïcité, la liberté de conscience et la liberté religieuse qui en est issue ,le CCMM lutte contre les agissements des sectes et n’intervient pas dans le débat religieux.
 
    Le Chef de l’Etat a notamment pour fonction de veiller au respect de la constitution, c’est pourquoi le CCMM a interrogé l’ensemble des candidats pour connaître leurs conceptions dans le domaine de la lutte contre les dérives des sectes. Leurs réponses seront publiées sur ce site du CCMM.