Les sectes utilisent des associations aux appellations trompeuses pour mettre en cause les militants qui, comme ceux du CCMM, défendent les droits de l’Homme, en n’hésitant pas à les accuser des pires maux. C’est ainsi qu’une de ces associations, intitulée "Coordination des Associations et Particuliers pour la Liberté de Conscience" (CAP) a  obtenu la condamnation du président du CCMM pour une information diffusée sur ce site du CCMM qui dénonçait les méthodes de l’organisation CAP.

Le Président du CCMM, Daniel Groscolas, au lendemain de cette décision, a déclaré "parce que nous défendons le droit et la liberté de pensée nous ne nous livrerons pas à des commentaires de cette décision de justice… mais notre volonté de dénoncer le prosélytisme insidieux des sectes et de leurs défenseurs trouve plus que jamais sa justification, nous savons qu’ils utiliseront tous les moyens pour tenter de réduire notre action… ils se trompent, leurs attaques renforcent nos convictions, nous poursuivrons dans le respect du droit."

Le CCMM attirait une nouvelle fois, il y a quelques jours encore,  l’attention du public sur les candidatures au premier tour des élections législatives de ces "défenseurs des organisations sectaires" qui se présentaient sous l’appellation de la "La France en Action(1). Leur ambition n’était pas d’être élus mais de faire bénéficier leur organisation des financements publics accordés aux partis dont les candidats obtiennent au moins 1% des suffrages dans au moins 50 circonscriptions.

Les défenseurs des sectes ne bénéficieront pas de ces fiancements puisqu’aucun des candidats de "La France en Action" n’a franchi ce seuil de 1%, pourtant modeste . Ainsi le Président de cette association "CAP", monsieur Thierry Bécourt,  a obtenu 0,6%, un certain Christian Cotten dans la 9° circonscription des Hauts de Seine, 0,53%, voila qui montre bien quelle est leur audience!

 Curieuse Organisation que cette "France en action" qui comptait parmi ses candidats des proches de diverses organisations sectaires. Monsieur Georges Fenech, ancien président de la récente commission parlementaire sur les sectes, a dénoncé dans une conférence de presse ces candidatures particulières de "la France en action".

Comme tous ceux qui ont le courage de dénoncer les agissements des sectes et de leurs proches monsieur G. Fenech vient d’avoir droit, sur un site internet, à un flot d’accusations. Voila ce qu’il en coûte de de démystifier les défendeurs des sectes: ils n’aiment pas être démasqués!