Plusieurs sectes demandent leur reconnaissance en Belgique : l’Union bouddhiste belge le 20.03.2006 (1), l’Église Erzdiözese, c’est-à-dire l’Église syriaque orthodoxe d’Antioche le 26.8.2005. L’Église arménienne est déjà englobée dans le culte orthodoxe (2) déjà reconnu, mais désire une reconnaissance séparée. Elle ne se considère ni comme catholique, ni comme orthodoxe, et ne revendique pas d’autre statut qu’apostolique.

Les cultes hindous, avec leurs millions de dieux, ont l’intention de demander leur reconnaissance en Belgique dans trois ans, après regroupement.

L’Église de scientologie, considérée comme secte en Belgique, a installé son quartier général près de l’Union européenne et espère par le lobbying se métamorphoser de secte en religion reconnue et a fait une demande en ce sens.

Secte dans un pays, l’Église de scientologie est religion dans d’autres, notamment en Afrique du Sud, en Australie, aux États-Unis, en Inde, en Italie, au Mexique, au Portugal, en Suède, etc. (3). Elle bénéficie d’exemption de TVA en Grande-Bretagne, est exonérée d’impôts au Mexique.

Cela prouve bien que secte et Église sont synonymes, mais une secte devient une religion par le seul fait de sa reconnaissance. On peut aussi être secte dans la secte comme l’Opus Dei. D’un pays à l’autre un groupement religieux peut-être considéré comme secte dangereuse ou comme religion acceptée. Le christianisme était une petite secte et est devenu une multinationale. D’innombrables sectes évangéliques s’en sont inspiré pour se remplir les poches et leur nombre ne fait que croître.

Pour passer du statut de secte au statut de religion, il faut avoir assez de fidèles (nombre pas déterminé) et soi-disant avoir une « utilité sociale ». Le mormonisme ou l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, les témoins de Jéhovah sont également des églises dans certains pays (États-Unis, etc.) et des sectes dans d’autres.

Selon la loi belge on entend par « organisation sectaire nuisible », tout groupement à vocation philosophique ou religieuse, ou se prétendant tel, qui, dans son organisation ou sa pratique, se livre à des activités illégales dommageables, nuit aux individus ou à la société ou porte atteinte à la dignité humaine. Le caractère nuisible d’un groupement sectaire est examiné sur base des principes contenus dans la Constitution, les lois, décrets et ordonnances et les conventions internationales de sauvegarde des droits de l’homme ratifiées par la Belgique. (4)

En réalité, toutes les religions tombent sous l’application de cette définition parce que toutes les religions nuisent aux individus ou à la société, portent atteinte à la dignité humaine et leurs livres dits saints sont contraires à la C.E.D.H.

Il suffit de voir le sort réservé aux femmes par l’obscurantisme religieux.

L’atteinte à la dignité des femmes, les discriminations et mutilations dont elles sont victimes, les mariages forcés, l’obligation d’épouser un homme de la même religion, la division en castes inférieures et supérieures, le mépris des homosexuels qui doivent être mis à mort selon la Bible, le refus de laisser mourir les êtres humains dignement sans souffrances, etc. sont omniprésents dans les différentes religions et sectes. Elles tombent ainsi sous la dénomination « d’organisations sectaires nuisibles » qui portent atteinte à la dignité humaine (loi du 2.6.1998, art.2) et violent différentes lois nationales et internationales, dont la C.E.D.H et le Pacte relatif aux Droits civils et politiques.

L’État belge ne parle pas de religions, mais de cultes ; les sept cultes reconnus en Belgique sont les cultes : catholique, protestant, anglican, orthodoxe, israélite, islamique. La laïcité organisée est aussi reconnue. L’État devrait être neutre et laïque et de ce fait ne reconnaître ni ne subsidier les religions et la laïcité organisée.

Les religions devraient vivre de ce qu’elles reçoivent de leurs fidèles. Le contribuable n’a pas à entretenir les gourous des différentes sectes. Les sectes en expansion sont à l’affût d’une reconnaissance pour avoir tous les avantages pécuniaires qui en découlent, tels que traitements, logement, exonération d’impôts, de taxes cadastrales et de T.V.A., etc.

Les traitements et pensions des ministres des cultes sont à charge de l’État, (5) tandis que leur logement relève des autorités régionales, provinciales et communales. On devient ainsi un véritable fonctionnaire de Dieu avec traitement et logement gratuit assurés jusqu’à la mort.

Le traitement et le logement (palais ou presbytère) sont en rapport avec le grade dans la hiérarchie ecclésiastique : Prince de l’Église, Archevêque, Cardinal, Évêque, Évêque adjoint, Monseigneur chanoine ou prêtre, etc., tous ces grades ecclésiastiques sont pourtant condamnés par l’Évangile selon Matthieu (23,5 -11.) et les évêques et les curés promettent le ciel au pauvre, mais préfèrent leur bien-être assuré sur terre par le contribuable.

Selon le Conseil d’État belge, le logement du curé doit être en rapport avec la dignité de « sa fonction » et à la campagne comporter un jardin, etc. (6)

Si tous les citoyens étaient protégés par une loi de ce type, il n’y aurait plus de sans-abri (S.D.F), ni de pauvres, mais cette loi n’est qu’un privilège pour la caste religieuse. Ce privilège viole l’article 10 de la Constitution qui dit que les Belges sont égaux devant la loi. Pourquoi les curés échappent-t-ils à cette règle d’égalité ? Il faut donc appartenir à une secte pour avoir le traitement et le logement assurés ? Il n’y a pas de séparation de l’Église et de l’État en Belgique comme en France contrairement à ce que certains s’imaginent et même en France l’Église reçoit des centaines de millions d’euros.

On annonce via les médias que le bouddhisme va être reconnu l’année prochaine en Belgique.

Comment la Belgique va-t-il continuer à élargir sa générosité envers toutes ces sectes, avec une dette publique fédérale de 278 283 531 055 euros à laquelle s’ajoutent des dettes énormes régionales, provinciales, communales, de CPAS et autres institutions publiques alors qu’on ne pourra plus faire face aux pensions et soins de santé pour les personnes âgées dans les années à venir et que le nombre d’assistés sociaux augmente constamment ?

Dépenser l’argent pour ces sectes, au lieu d’utiliser cet argent pour éradiquer la misère en Belgique (1,5 million de pauvres) c’est un scandale et les parlementaires qui votent cette reconnaissance n’ont pas de scrupules à gaspiller l’argent du contribuable.

On préfère entretenir les sectes plutôt que d’entretenir les bâtiments scolaires vétustes en Flandre, en Wallonie et à Bruxelles. Les prisons sont vétustes et insalubres et certaines de type tiers-mondiste. Le ministère des finances dysfonctionne complètement faute de modernisation et de moyens. Le ministère de la Justice est dans le même état de délabrement. De nombreuses affaires sont classées ou arrivent devant le tribunal 10 ans après et même 17 ans lorsqu’il s’agit de fraudes bancaires, simplement pour constater la prescription, par manque de modernisation et de moyens ; c’est un véritable déni de justice. Les listes pour le placement d’handicapés s’allongent faute d’argent. La recherche scientifique souffre de manque d’argent, mais on gaspille des millions d’euros du contribuable à des sectes qui véhiculent des idéologies irrationnelles, nocives, fausses et ridicules.

Il y a 16 organisations bouddhistes différentes dans le pays (7), il faudra donc les rassembler dans un exécutif de la communauté bouddhiste de Belgique et ils seront reconnus comme communauté philosophique non confessionnelle. (8)

Après l’exécutif des musulmans pour rassembler les différentes sectes musulmanes, on va essayer de rassembler toutes les sectes bouddhistes dans un exécutif. Les pays comme la France et la Belgique contraignent ainsi les sectes à se centraliser alors qu’elles sont divisées. Cela ne peut que les rendre plus puissantes, plus influentes et plus riches.

La subvention annuelle accordée à l’Exécutif des Musulmans a été portée pour 2004 à 1.126.000 euros (9) alors que les musulmans qui en faisaient partie n’ont fait que se chamailler ou se bagarrer et l’exécutif a fait l’objet d’une enquête concernant des présomptions de malversation dans les comptes.

Combien de « machins » de ce genre les Belges vont-ils devoir entretenir à coups de millions d’euros ? Il faudra après l’exécutif de la communauté musulmane de Belgique, un exécutif de la communauté bouddhiste, un exécutif de la communauté hindoue, etc. en attendant l’officialisation de plusieurs autres sectes puissantes comme la scientologie, le mormonisme, les témoins de Jéhovah.

Tous ces exécutifs avec personnel et matériel seront à charge du contribuable ainsi que leurs représentants chargés de cours dans les écoles pour rendre les enfants superstitieux et peureux au lieu de leur apprendre le contenu de la C.E.D.H. dont ils ne savent rien et qui contient des textes de droits humains d’une grande valeur morale que tous les jeunes devraient connaître de A à Z.

Le gourou tibétain actuel, le Dalaï-Lama, serait le résultat de 14 réincarnations. Comme on se réincarne à cause d’un mauvais karma, il faut croire que ces gourous ne parviennent pas à s’améliorer sinon les réincarnations ne se succéderaient plus. S’il s’installe en Belgique l’année prochaine, ce gourou aura un traitement de Prince de l’Église et un palais à sa disposition. Les moines bouddhistes ne devront pas mendier en Belgique. Ce sera donc le paradis pour les moines et les nonnes bouddhistes, les bonzes et les bonzesses.

Dans plusieurs pays le bouddhisme est religion officielle de l’État comme au Bhoutan, en Kalmoukie, au Sri Lanka, en Thaïlande. Selon le livre des jataka le fondateur du bouddhisme Siddhârta Gautama, encore Boddhisattva s’est réincarné 547 fois en poisson, oiseau, buffle, singe, éléphant, lion, chacal, porc, paon, grenouille, etc., mais en réalité il n’aurait pas cessé de se réincarner. Pour les uns il est au nirvana pour les autres il n’y est pas.

On se réincarne parce qu’on a un mauvais karma, on renaît donc avec un mauvais karma et on ne voit guère comment sortir de ce cercle vicieux puisqu’en renaissant (cycle déterministe de renaissances) c’est automatiquement avec le mauvais karma de son prédécesseur. Allez d’ailleurs savoir ce que « renaissances » ou « réincarnations » bouddhistes veulent dire, puisque dans le bouddhisme ce n’est pas l’âme qui émigre (métempsycose), ce qui rend le concept incompréhensible. Qu’est-ce qui se réincarne alors ? Il existe aussi d’innombrables définitions du nirvana, mais même si vous les avez toutes lues vous ne saurez toujours pas ce que c’est, sauf que c’est une mystification, une tromperie, un attrape-nigaud.

Dans un entretien paru dans le quotidien Metro le 7 juillet 2005, le Dalaï-Lama estime que « ces évènements comme “le tsunami” se produisent à cause du karma de chacun » et que « ceux qui ont péri durant le tsunami avaient un mauvais karma ». Ce gourou est contre l’avortement et l’homosexualité, mais attention son nom se traduit par « océan de sagesse ». Il est végétarien, mais dit que parfois il mange de la viande. Il doit être chaste, mais l’est-il comme il est végétarien ? Comment est-il possible que des personnages pareils se fassent recevoir avec les plus grands honneurs ? Les bonzes vont-ils tenir des propos de ce genre aux enfants dans les écoles belges ?

Le bouddhisme est basé sur la doctrine de son fondateur Siddhârta Gautama appelé Bouddha Shakyamouni. Celui-ci n’a pas plagié la Bible comme Mahomet, mais il a plagié l’hindouisme adapté à la sauce bouddha.

Les moines bouddhistes qui seront subsidiés et payés par la Belgique apprendront aux enfants que la naissance et la mort de leur gourou légendaire se situent entre 575 et 486 avant J.C , mais des études récentes situent sa vie entre 375 et 355 av. J.-C. À deux cents ans près, c’est clair. Les enfants apprendront aussi que ce gourou, tout comme Jésus-Christ et le prophète Mahomet, n’a jamais rien écrit, mais comme Jésus, on sait ce qu’il a dit 5 siècles av. J.-C.

Il est né miraculeusement de la Vierge Maya (10). Une nuit, la reine Maya rêva qu’un éléphant à six trompes portant dans sa trompe une fleur de lotus entra en elle par le côté droit, au même moment un fils fut conçu sans intervention paternelle. Il savait marcher tout de suite, faisait des miracles, marcha sur l’eau ; mordu par deux cobras, ces morsures mortelles n’eurent aucun effet sur lui ; il guérissait des malades, nourrissait 500 hommes à partir d’un petit « panier de gâteaux » ; il est appelé le Sauveur du Monde, fut crucifié et après 3 jours de souffrance en enfer, il ressuscita pour disparaître dans le nirvana. (11)

Oui, pourquoi Bouddha n’aurait-il pas fait de miracles puisque Jean-Paul II les multiplie actuellement, comme Jésus multipliait les pains ?

N’allez pas croire que c’est l’histoire de Jésus, c’est bien celle de Bouddha. À son mariage, son père l’avait doté d’un harem de 84.000 femmes. Mahomet avait un harem modeste si on le compare à celui du Bouddha. Aucun sage n’abandonnerait tout cela, à moins qu’il ne soit épuisé par tant de femmes ou pas encore assez éveillé.

Il n’y pas un seul bouddhisme, mais d’innombrables bouddhismes. Les textes sont totalement irrationnels et n’ont rien à voir avec la philosophie en tant que connaissance, science et sagesse, mais bien avec la superstition pure et simple, autrement dit le bouddhisme est une mystification, une duperie, une tromperie pour des gens superstitieux qui croient en une réincarnation comme les chrétiens en la résurrection. Consultez les textes bouddhistes sur Internet, vous aurez vite la preuve irréfutable du galimatias bouddhiste, à moins d’être né avec une faiblesse superstitieuse incurable.

Il y a autant d’interprétations du bouddhisme qu’il y a de maîtres bouddhistes. On se demande à quoi peut servir d’apprendre aux enfants des notions comme mantra, karma, samsara, nirvana. Que vont-t-ils penser lorsqu’un bonze va leur raconter qu’ils doivent faire abstraction de tous leurs désirs ou passions et devenir donc des robots sans aucun sentiment et sans moi ? On leur parlera du Petit véhicule et du Grand véhicule. Pour les uns, il y en a que deux, pour d’autres il y en trois. Dans le Petit véhicule, Bouddha s’est éteint dans le nirvana, il ne peut donc plus accorder la grâce, mais dans le Grand véhicule il n’est pas au nirvana et devient le Sauveur qui accorde la grâce à celui qui lui adresse ses prières. Il envoie des esprits pour protéger ses adeptes.

Les moines bouddhistes sont endoctrinés pendant cinq ans et restent attachés à leur maître, ils doivent faire abandon de leurs biens à la communauté, ils doivent rester chastes. Ils ne peuvent avoir aucune relation sexuelle, comme les curés parmi lesquels règne l’homosexualité, mais aussi la pédophilie surtout à cause des règles contre-nature qu’on leur impose. Pourquoi ce serait différent chez les moines bouddhistes contraints à la chasteté, chez qui la femme est comme dans l’hindouisme traitée comme un être inférieur ? Les nonnes bouddhistes ne représentent rien dans les sectes bouddhistes, elles sont une petite minorité face aux moines et doivent obéir à ceux-ci, elles n’ont aucun statut sauf celui de « soumises ». Elles sont considérées comme impures et ne peuvent toucher les bouddhas sacrés…

Quand les citoyens belges vont-ils exiger de leurs 7 parlements, de leurs 6 gouvernements et de leurs 55 ministres qu’on cesse d’entretenir toutes ces sectes pernicieuses au lieu d’en entretenir de plus en plus et de gaspiller ainsi scandaleusement l’argent du contribuable pour enseigner aux enfants des dogmes stupides, source d’intolérance et de communautarisation ?

Non messieurs les parlementaires, plus un euro pour ces sectes, qu’elles vivent de leurs fidèles et si elles n’en ont pas ou plus assez qu’elles ferment leurs églises, temples, synagogues, etc. On ne parlera plus alors chaque jour de massacres ou génocides à caractère religieux, entre chiites et sunnites, entre hindous et musulmans, entre chrétiens et musulmans, entre sikhs et hindous et que sais-je encore.

Guillaume

Notes :

1. L’Union bouddhique belge (UBB) est une association de droit belge (ASBL) et Question écrite 3-5922 de De Schamphelaere Mia , parlementaire (CD&V) du 27 septembre 2006

2. Bulletin 3-45. Session de 2004-2005 Sénat. Réponse de la ministre Onckelinx.

3. Voir Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Scientologie

4. C.I.A.O.S.N. 2 JUIN 1998. – Loi portant création d’un Centre d’information et d’avis sur les organisations sectaires nuisibles et d’une Cellule administrative de coordination de la lutte contre les organisations sectaires nuisibles

5. Art. 181 § 1 Constitution belge

6. "Considérant que s’il est admis par la doctrine et la jurisprudence qu’il résulte de la combinaison de l’article 72 de la loi de 18 germinal an X et de l’article 92 du décret du 30 décembre 1809 que, lorsque les communes mettent à la disposition du curé une habitation, celle-ci doit être convenable en rapport avec ces fonctions, ce qui comporte, à la campagne, l’existence d’un jardin comparable à celui de personnes qui occupent une situation analogue, il ne résulte pas de ces dispositions, ni de l’article 131, 13°, de la loi communale (lire 255, 12°), que ces communes sont obligées, sauf dans le cas où le presbytère aurait existé antérieurement à la loi du 18 germinal an X, à fournir au curé une habitation et un jardin plutôt qu’une indemnité de logement" (C.E., 2.4.1953, [commune de Maisières], n° 2343). Le tribunal de première instance de Namur du 5.5.1994 va dans un sens contraire et estime que les communes ne disposent pas de cette liberté de choix : "qu’aux termes de l’article 92, 2°, du décret impérial du 30 décembre 1809 sur les fabriques d’église, les charges de la commune relatives au culte sont de fournir au curé un presbytère ou, à défaut de presbytère, un logement ou, à défaut de presbytère ou de logement, une indemnité pécuniaire" et "que le choix pour une commune d’opter pour un logement ou une indemnité de logement n’’existe qu’en absence de presbytère" et "que ce choix est exclu lorsqu’il existe un presbytère non aliéné ni désaffecté" (Civ. Namur, Rev. dr. comm., 95/2, p. 149). Or, il nous semble que ce raisonnement ne peut être tenu que pour les presbytères restitués en vertu de la loi 18 Germinal an X ou légués à cette fin à la commune (cf. infra). Union des Villes et des commune ASBL – Gestion du patrimoine : le régime juridique des presbytères. Voir ici.

7. Créée en 1997 l’UBB (L’Union bouddhique belge) comprend 16 associations qui représentent les grandes traditions du bouddhisme.

8. Article 181, §2 de la Constitution Belge

9. Belgique – Commission de la justice 24.5.2004 interpellation Tony Van Parys.

10. Voir aussi : Kadampa – http://www.kadampa.org/french/reference/buddha_birth.php. Une nuit, la reine Mayadévi rêva qu’un éléphant blanc descendait du paradis et entrait dans son ventre. L’éléphant blanc qui entrait dans sa matrice indiquait que l’enfant qu’elle avait conçu cette nuit-là était un être pur et puissant. L’éléphant qui descendait du paradis indiquait que son enfant venait du Paradis de Toushita, le pays pur de Bouddha Maitreya.

11. A lire Les Origines du christianisme et la recherche du Jésus-Christ historique par Acharya, S, auteur de "The Christ conspiracy", the greatest story ever told.

(Remarque du CCMM : Situation qui ne peut se produire en France, Etat laïque la République ne reconnaît et ne subventionne aucune culture)