De : Rouquet Guy [mailto:psychotherapie.vigilance@wanadoo.fr]
Envoyé : dimanche 2 juillet 2006 21:02
À : ‘Bernard.BASSET@sante.gouv.fr’; ‘Francis.BRUNELLE@sante.gouv.fr’
Cc : 
 Objet : analyse transactionnelle et emprise sectaire : la communauté d’été
Importance : Haute
 
Docteur Basset, Professeur Brunelle,

 
Le document ci-dessous et les pièces jointes devraient vous intéresser. En effet, comme l’a souligné très justement Mme Martine Maurer, elles traitent de la communauté d’été des analystes transactionnels dont le site de la FF2P fait la publicité. Il s’agit en soi d’une preuve évidente que cette fédération qui se targue d’être partout ne répond pas aux critères de déontologie ni de sérieux puisqu’elle fait publicité d’un lieu de vacances que les analystes transactionnels organisent en y réunissant leurs patients, les thérapeutes, les formateurs superviseurs et leurs élèves en formation,  en SUS D’Y ACCUEILLIR LES FAMILLES, et donc leurs ENFANTS. Ce  document constitue une preuve de l’agencement sectaire de ce groupe et de la façon dont ses responsables procèdent pour recruter et insérer les enfants. Comment des personnes se disant professionnelles peuvent-elles considérer qu’on peut diffuser une proposition où des personnes se disant "psychothérapeutes" envisagent une semaine de vacances et d’activités partagées avec leurs patients,  appelés à devenir cotisants de l’IFAT. C’est gravissime car au plan du soin cela invalide toute dimension thérapeutique puisque le transfert et le traitement sont mis à mal et au-delà cela leur permet l’embrigadement en y enseignant la théorie AT.
 
En conviant les enfants, en glissant de la formation à la communauté, en faisant se côtoyer et  festoyer ensemble patients, "psychothérapeutes", formateurs, conjoints et famille on  a là un exemple édifiant du non respect des cadres. Dans la pratique, dans les faits, on est aux antipodes du code de déontologie régissant les professionnels de la santé et celui des psychologues.
 
Bien cordialement
.
Guy Rouquet

NewsLetter n°48

21 juin 2006

PROFESSION

Réunion de concertation au Ministère du jeudi 15 juin 2006

 COLLOQUE
Maladie d’amour, les 13 et 14 octobre à Paris

 PUBLICATIONS
– Être psychothérapeute : questions, pratiques, enjeux, Livre collectif
– Psychothérapie : 100 réponses pour en finir avec les idées reçues, Serge GINGER
– Pourquoi la psychothérapie ? Livre collectif

 ORGANISMES MEMBRES
– AAPO : Journées d’études
– AETPR : Colloque
– CAPOP : Marie-Dominique LINDER
– GRETT : 8e Congrès EUROTAS
– IFAT : Ateliers et 27e congrès

RÉUNION DE CONCERTATION DU 15 JUIN

Une quarantaine de représentants d’organismes divers de psychanalyse, certains convoqués par le ministère, d’autres venus d’eux-mêmes
M. Brunelle, entouré de ses deux assistantes.
La FF2P était représentée par Michel Meignant et Serge Ginger.

La réunion du 15 juin a rassemblé notamment les associations de psychanalyse suivantes :
– Fedepsy
– Ecole Psychanalytique des Forums du Champ Lacanien
– SPRF Société de recherche et de formation psychanalytique
– Ecole Freudienne
– SIUEERPP
– Association de psychothérapie analytique (jungiens)
– Société Française de Psychanalyse Adlerienne
– Société Psychanalytique de Paris (SPP)
– Quatrième Groupe
– Association Freudienne Internationale
– Cercle freudien
– École de la Cause Freudienne (ECF)
– Espace analytique
– Association psychanalytique de France (APF)
– Fédération Française de Psychothérapie et Psychanalyse (FF2P)
– etc.

INTRODUCTION PAR M. BRUNELLE

La position du ministre est très claire : la liberté des associations loi de 1901 ne peut être remise en question. Il est exclu que l’État se substitue aux associations de psychanalystes, dans un domaine éminemment complexe et évolutif. C’est à vous qu’il appartient de faire des propositions : je suis là simplement pour vous écouter, ceci est votre réunion.
Nous reconnaissons l’absolue autonomie du champ psychanalytique, et les psychanalystes sont légalement membres de droit.
Par ailleurs, nos juristes ont confirmé qu’on ne peut être « membre de droit »… « sous conditions » ! Donc, l’alinéa 4 de la loi ne sera pas appliqué !
M. Brunelle s’en tiendra exclusivement à l’objet de cette réunion, et les autres points du décret ne seront donc pas abordés.

DÉBATS

Les représentants d’une quinzaine d’associations psychanalytiques de tous bords : freudiens orthodoxes, lacaniens, 4e groupe, jungiens, adlériens, enseignants universitaires, psychothérapeutes (FF2P), s’expriment tour à tour et formulent – unanimement – un NON, catégorique ou légèrement nuancé, à toute réglementation par l’État du champ analytique.
Nous ne reprendrons pas le verbatim fastidieux des interventions de chaque organisme, mais nous nous contentons de les résumer :

CHACUN EXPLICITE SES MOTIVATIONS VARIÉES (EXTRAITS)

– On ne peut définir des critères simples ; ce ne peut être qu’une nouvelle source de conflits, après une histoire jalonnée déjà de multiples scissions ! On ne peut, ni on ne veut, délimiter le champ de la psychanalyse.
– Il y aurait plus de risques à une recherche de consensus improbable qu’à l’infiltration d’usurpateurs via la création de nouvelles associations de « psychanalystes ».
– Il y aura, de toute manière, bien peu de psychanalystes qui vont revendiquer le titre de « psychothérapeute ».
– Toute clôture d’un champ implique des rejets et des conflits.
– Il ne serait pas possible d’arriver à un consensus : ce n’est pas pour rien qu’il y a eu tant de scissions. L’union est impossible : il serait ridicule de vouloir uniformiser les écoles. Chaque association doit demeurer responsable de ses critères et de sa réglementation interne. Il n’est pas question que l’État y jette un œil.
– Les organisations de psychanalyse ont une parfaite capacité d’autorégulation.

Plusieurs associations freudiennes estiment que seuls peuvent se prétendre « psychanalystes » les associations issues de la SPP (Société Parisienne de Psychanalyse) depuis sa fondation en 1926 : il « va de soi » que les jungiens et les adlériens ne peuvent se prétendre « psychanalystes » !… On ne saurait confondre « scissions » et « dissidences » : Adler et Jung ont été exclus. Mais cette nuance est difficile à traduire en termes juridiques.
D’autres soutiennent que « hors de la psychanalyse, il n’y a pas de psychothérapie » : cette dernière n’est qu’une variante de la cure type, sinon ce n’est pas une « psychothérapie ».
La psychanalyse n’est absolument pas une « méthode ».

M. Brunelle précise, à nouveau, que l’art. 52 ne fait pas partie du Code de la Santé.
Il n’est pas question que le ministère « mette le pied dans la porte », à l’occasion d’une « liste » ou d’un annuaire. Il précise qu’il est à l’origine de la suppression du concept de « liste », cela pour des raisons personnelles.

Que veut dire « régulièrement  inscrit » ?
M. Brunelle et ses assistantes juristes répondent : Cela veut dire « à jour de ses cotisations », car on ne peut juger que de critères formels et non discuter sur le fond.

 DÉTAIL DES PRINCIPALES INTERVENTIONS DE LA FF2P

S. Ginger  et M. Meignant interviennent à plusieurs reprises sur des points divers :

• Notre Fédération est une association loi de 1901. Elle a toujours regroupé des psychanalystes, depuis sa fondation, il y a plus de 10 ans. Ils ont toujours figuré sur notre annuaire. D’ailleurs, nous nous trouvons être une des associations de psychanalystes la plus nombreuse en France, puisque nous regroupons plus de 300 psychanalystes, pratiquant des psychothérapies psychanalytiques : trois associations (École ferenczienne, société adlérienne, et branche française de l’ECPP ou European Confederation for Psychoanalytical Ppsychotherapy) ainsi qu’une centaine de psychanalystes indépendants. Nous avons toujours considéré la psychothérapie psychanalytique comme une psychothérapie, la psychanalyse étant pour nous une approche parmi plusieurs autres, ainsi que cela est reconnu dans tous les pays d’Europe depuis plus de 20 ans. Notre changement de nom est récent, car la loi a introduit une distinction arbitraire parmi ces approches, mais cela n’a changé en rien la composition de notre Fédération, bien antérieure à la loi. D’ailleurs, certains ont suivi plusieurs formations dans diverses écoles psychanalytiques et désirent conserver leur indépendance : rester psychanalystes, mais sans s’inféoder à une obédience déterminée. Ils se sont inscrits chez nous dès la création de la FFdP en 1995.

• Nous n’avons jamais compris sur quels critères juridiques ou scientifiques reposait la distinction arbitraire de la loi entre psychanalyse et autres psychothérapies.
Cette distinction semble en contradiction avec le principe constitutionnel d’égalité devant la loi. M. Brunelle revendique le « droit de ne pas répondre à une question… où la réponse semble contenue dans la question ».

• De plus, pourquoi privilégier une orientation psychanalytique par rapport à une autre, selon le contexte culturel provisoire d’un pays : Freud ou Lacan, en France ; Jung en Suisse ; Adler en Allemagne ; Klein ou Winnicott en Grande-Bretagne ; Kohut aux Etats-Unis, etc ! Comment l’État pourrait-il intervenir dans ces distinctions subtiles et ces choix subjectifs ?

• Il serait pour le moins paradoxal d’attribuer « de droit » le titre de « psychothérapeute » à tout membre d’une association de psychanalyse qui le sollicite… alors même que son organisation clame et écrit depuis des années que « la psychanalyse n’est pas une psychothérapie » ! Parallèlement, on refuserait ce titre à des psychanalystes qui ont justement adhéré à notre fédération parce qu’ils avaient délibérément opté pour la psychothérapie !

(Note : A la sortie de la réunion, à 16 h 30, nous croisons un millier de manifestants ostéopathes venus revendiquer un décret réaliste, et notamment le droit de pratiquer l’ostéopathie crânienne avec les bébés. Ils font face à plusieurs camions de CRS en tenue anti-émeutes… Ils exigent une audience immédiate du ministre…)

COMMENTAIRE ET ANALYSE DE LA FF2P

• La position des diverses associations de psychanalyse n’a surpris personne, ni les intéressés eux-mêmes, ni le représentant du ministre. Ce qui a été spectaculaire, c’était l’unanimité contre toute définition par l’État, malgré des motivations différentes.

• La nouvelle principale a été l’intention du ministère de contester un alinéa de la loi, l’alinéa 4 affirmant : Un décret en Conseil d’État précise les modalités d’application du présent article et les conditions de formation théoriques et pratiques en psychopathologie clinique que doivent remplir les personnes visées aux deuxième et troisième alinéas.
Le ministère n’a pas l’intention de l’appliquer aux personnes visées au 3e alinéa, soit les médecins, psychologues et psychanalystes !
Reste à savoir si la Conseil d’État acceptera une telle lecture tendancieuse.

• Si elle était acceptée, on arriverait à une situation caricaturale :
– Seraient acceptés comme « psychothérapeutes » garantis par l’État, sous réserve qu’elles en fassent la demande, de nombreuses personnes n’ayant aucune formation ni en psychothérapie, ni en psychopathologie (tels qu’un radiologue ou un médecin oto-rhino, ou encore un psychologue du travail, ou bien un psychanalyste issu d’une filière littéraire) !
– Tandis que risqueraient d’être refusés des praticiens en psychothérapie, dûment formés, pendant de nombreuses années, à la psychothérapie et à la psychopathologie !

La profession serait ainsi officiellement dévalorisée et les usagers seraient exposés à de nombreux risques :
– être pris en charge par des charlatans, sans aucune formation spécifique ;
– tomber sur des représentants d’une secte, regroupés sous couvert d’une « association de psychanalyse » (fondée à cet effet) automatiquement agréés, de ce fait, comme psychothérapeutes « de droit » ;
– les usagers n’auraient d’autre recours de sécurité que de consulter les annuaires privés de « praticiens de la psychothérapie », garantis par les fédérations représentatives des professionnels.

 EN RÉSUMÉ

1 • Lecture pessimiste :
Un décret serait publié en plein été (comme l’a été la loi), pour limiter les manifestations.
Il maintiendrait une obligation de master (5 ans à l’université, sans équivalences) en psychopathologie, cela uniquement pour les psychothérapeutes proprement dits.

Après 3 années de remous sociopolitiques importants (d’oct. 03 à oct. 06), avec de nombreux échos dans les médias, « la montagne aura accouché d’une souris » congénitalement handicapée, aggravant l’insécurité des usagers, et condamnant à l’indiscipline les professionnels qualifiés, puisque bien peu d’entre eux, après 5 années en moyenne de formation de psychothérapeute, n’entreprendront 5 années supplémentaires de formation universitaire dans un domaine (la psychopathologie)… qu’ils ont déjà étudié !
Les sectes s’engouffreront dans la brèche… proposée par le gouvernement : accréditation d’office, sous réserve de fonder une association de « psychanalyse », sans aucun critère !
« L’exception française » serait, une fois de plus, la risée de toute l’Europe — ce qui serait d’autant plus regrettable qu’à l’heure actuelle, la psychothérapie française (dont la psychanalyse) est appréciée sur le plan technique et scientifique, comme l’une des plus avancées d’Europe.

2 • Lecture optimiste :
L’amendement Accoyer aura « réveillé » tant les professionnels que l’opinion publique sur l’importance de la psychothérapie. D’ailleurs, il est frappant de constater avec quelle passion de nombreuses corporations revendiquent aujourd’hui ce titre !
D’autre part, les usagers osent maintenant demander des garanties de formation.
La pratique de la profession reste entièrement libre.
L’accès au titre aussi ! Ne serait-ce que par la nouvelle porte, grande ouverte, de la « psychanalyse ».
Ceux qui n’entreprendraient pas les formalités nécessaires à l’octroi du titre de « psychothérapeute » pourront parfaitement utiliser celui de « praticien en psychothérapie » (en y ajoutant, le cas échéant, « titulaire du Certificat Européen de Psychothérapie », ou encore, par exemple, « spécialisé en Analyse transactionnelle, en Gestalt-thérapie, etc. ».
Quant au fait que la loi attribuerait ainsi le titre à certains médecins ou psychologues sans formation spécifique à la psychothérapie (ni à la psychopathologie), cela ne changerait rien à la situation actuelle — où quiconque peut s’arroger ce titre, à sa guise.

3 • Proposition simple de « sortie de crise » :
Pour en finir avec plus de 30 mois de tergiversations houleuses, la proposition d’arbitrage du 7 avril 2006, de M. Xavier Bertrand lui-même, serait la moins mauvaise solution : obligation pour tous (conformément au texte de loi déjà promulguée), d’une formation minimale de 150 h en psychopathologie (avec possibilité de conventions avec l’université), venant s’ajouter à une formation professionnelle initiale de plusieurs années comme psychothérapeute, médecin, psychologue ou psychanalyste. Cela limiterait aussi, quelque peu, les fausses associations de psychanalyse (on exigerait au moins la psychopathologie).
Il suffirait que le ministre s’en tienne à ses propres propositions de médiation, indépendamment des divers lobbies corporatistes.

Serge Ginger, secrétaire général

MALADIE D’AMOUR
Vendredi 13 et samedi 14 octobre 2006
Musée social – Paris

 Selon Platon l’amour est une recherche constante de l’unité originelle, une quête universelle, à tous les stades de la vie et pour tous les humains.
L’amour est une aventure complexe, un processus évolutif avec des « effets collatéraux »…
L’amour est vital comme l’air et la nourriture, c’est aussi une construction psychique toujours unique, le plus souvent romanesque.
Mais avons-nous assez appris à nous aimer nous-mêmes, pour aller vers l’amour de l’autre ?
Les complications de la vie amoureuse sont un motif quotidien d’entrée en psychothérapie.
En traitant les blessures de l’enfance et les souffrances du présent, l’adulte apprend à s’aimer, à se détacher, à devenir autonome,  et à créer un lien harmonieux d’échange et de partage.
On assiste aujourd’hui à une explosion du « mal-être amoureux », de  l’instabilité des liens, qui n’est pas forcément liberté, et mérite  réflexion et recherche de solution.
Un couple sur deux se sépare. Les célibataires se cherchent. La solitude devient endémique.
Pourtant la quête d’amour continue…

 Une large place sera laissée au débat avec les intervenants.

 Le colloque sera suivi d’une soirée dansante avec buffet.

ÊTRE PSYCHOTHÉRAPEUTE :
questions, pratiques, enjeux
Éditions DUNOD

Que signifie aujourd’hui : « être psychotherapeute » ?

 La profession de psychotherapeute existe depuis des decennies. Elle s’est elle-même donne en France comme en Europe des règles de fonctionnement rigoureuses.

 Ce livre témoigne de la réalité d’un « métier méconnu » : de ses finalités, de ses pratiques et de leur évolution. II en montre les enjeux vitaux, tant individuels que culturels et sociaux.
II répond également à des questions essentielles telles que « Quelle aide peut apporter une psychothérapie? », « Qu’est-ce que la santé psychique? », « Comment prévenir et traiter la psychopathologie sociale ? »
En arrière-plan se trouve illustrée la nécessite de ne pas réduire la psychothérapie à la psychopathologie.
Dissipant la méconnaissance dont elle pâtit, cet ouvrage nous éclaire sur les acquis essentiels d’une profession dont la place et le rôle social ne cessent de s’étendre en France comme dans tous les pays démocratiques.

 II est destiné à tous ceux et celles qui, au-delà du tapage médiatique, veulent comprendre le sens véritable de ce beau métier.

PSYCHOTHÉRAPIE : 100 réponses
pour en finir avec les idées reçues

Éditions DUNOD

• Pourquoi consulter un psychiatre ? Je ne suis pas fou!
• J’ai soixante ans, il est trop tard pour entreprendre une analyse !
• Une psychothérapie, pour être efficace, doit être longue,coûteuse et pénible.
• Nous sommes marqués par le passé ; il faut chercher nos racines.
• Le cancer est lié à des problèmes psychologiques.
• Vive la transparence et la vérité entre les conjoints !

 Plusieurs enquêtes récentes ont montré à quel point la perception de ce qu’est véritablement une psychothérapie est approximative. Ce livre se propose de dénoncer les nombreuses idées reçues et souvent répétées qui entretiennent des confusions et des malentendus, parfois très préjudiciables.

 Rédigé avec humour, cet ouvrage est destiné :
– à ceux qui envisagent d’entreprendre une psychothérapie – ou qui sont déjà engagés dans cette démarche – mais aussi à leurs proches et amis ;
– à toute personne soucieuse de comprendre les enjeux psychologiques nouveaux de notre société en mutation;
– aux praticiens en psychothérapie qui se trouvent au carrefour des questions et des « on-dit » de leurs clients, du grand public et des médias.

 Un livre… à consulter en toute occasion.

POURQUOI LA PSYCHOTHÉRAPIE ?

Fondements, méthodes, applications

Éditions DUNOD

28 €
Face à une demande sociale croissante, l’offre de soins psychothérapeutiques s’est considérablement développée. En 2001, on a évalué à trois millions les personnes ayant suivi une psychothérapie ou une psychanalyse. La reconnaissance légale du titre de psychothérapeute est par ailleurs en cours.
Il est donc devenu nécessaire de clarifier le rôle du psychothérapeute et d’informer sur la nature du «travail sur soi» que propose la psychothérapie.
Comment celle-ci est-elle pratiquée? Quelles sont les relations de la psychothérapie avec la psychiatrie, la psychanalyse ou la philosophie? A quoi correspondent les diverses méthodes existantes ? Comment est réellement formé un psychothérapeute? Toutes ces questions sont traitées dans cet ouvrage qui se veut un panorama didactique des concepts des principales méthodes et de leur champ d’application.
En vingt-trois chapitres rédigés par d’éminents spécialistes – universitaires et praticiens – cet ouvrage propose un état complet de la psychothérapie actuelle.
Il constitue un livre de référence clair et accessible, particulièrement destiné aux praticiens et aux étudiants du domaine.

 Vous pouvez le commander pour le prix de 28 euros directement au secrétariat de la FF2P (qui prend à sa charge les frais d’envoi).

AAPO

 Journées d’études de l’AAPO (Analyse Psycho-organique) :

SEXUALITÉ ET TRANSGÉNÉRATIONNEL

 Samedi 4 novembre 2006 – au FIAP – 30 rue Cabanis – 75014 Paris (M° St Jacques)
Lundi 5 mars 2007  – Maison Nicolas Barré – 83 rue de Sèvres – 75006 Paris (M° Sèvres-Babylone) de 9h00 à 17h30

animées par Didier DUMAS

 Thèmes abordés :
– La psyché du bébé, la conscience prélangagière et la duplication mentale
– Dyade amoureuse, construction érotique et image inconsciente du corps
– La théorie biblique des transmissions généalogiques

 Tarifs :
Adhérents AAPO et étudiants :           *  110 euros  /  2 jours  –  *  60 euros  /  1  jour
Non adhérents :                                 *  135 euros  /  2 jours  –  *  70 euros /  1 jour

 Inscriptions : 01 43 21 90 65

AETPR

 Colloque à Montpellier organisé par l’AETPR (Association Européenne de Thérapeutes Psycho-corporels et Relationnels)

PASSAGES OBLIGÉS, ÉPREUVES ET TRANSFORMATIONS

 Conférences : Samedi 21 octobre 2006
– Claude Vaux – "Le serpent intérieur, point d’appui dans les passages"
– Doris Nadel – "Être ou ne pas Naître"
– Henri Paumelle – "L’adolescence : les passages oubliés de l’occident"
– Dany Parisi-Claverie – "La ménopause, un retour aux sources essentielles de la femme"
– Lucien Tenenbaum – "Séparations et divorces, passages obligés dans la vie d’un couple en 2006 ?"
– Tony Fournier – "Deuils, ruptures, séparations. Accompagner, respecter, comprendre"

 Ateliers : Dimanche 22 octobre 2006
– Eliane Fliegans-Jung et Claude Vaux – "La transe thérapeutique dirigée : une aide aux passages"
– Tony Fournier – "Subir ou choisir de dire au revoir"

 Renseignements et inscriptions : 03 88 90 78 52
Site Internet : www.aetpr-psychotherapie.org
E-mail : contact@aetpr-psychotherapie.org

CAPOP

 Conférences sur le thème :
LA FAMILLE ET LA PSYCHOTHÉRAPIE
 Programme :
– Mardi 3 octobre 2006 : Marie LEGROS – "Mon père, ma mère, mes frères et mes sœurs"
– Mardi 7 novembre 2006 : Marie-Christine Marion – "Quel type d’écoute dans un lieu comme une Maison des parents ? Quelles limites, quelles approches, que faire de la parole déposée ?"
– Mardi 5 décembre 2006 : Irène HELBING – "Famille symbolique, un concept APO ?"

 Les conférences ont lieu le mardi à  20 h 30 au 22, rue du Faubourg du Temple, 75011 Paris
(Musée Social, 5 rue Las Cases, 75007 Paris, métro Solférino)

 Entrée : 10 € (chômeurs, étudiants : 6 €)
Forfait 60 € pour l’année

 Renseignements et inscriptions : 01 47 00 41 23

GRETT

 Le GRETT (Groupe de Recherches en Thérapies Transpersonnelles) organise le 8e Congrès EUROTAS (Association Européenne du Transpersonnel) du 6 au 9 octobre 2006, au Château de Fondjouan, près de Blois, sur le thème :

LE FEMININ DIVIN

 Il ne s’agira nullement du féminin contre le masculin, mais de la recherche d’un équilibre et d’une nouvelle danse entre les deux.

 Présidente : Bernadette BLIN, psychothérapeute  de la FF2P.
Il est possible de proposer une intervention : une conférence (1 h) ou un atelier expérienciel (2 h), en rapport avec le thème du Congrès, jusqu’au 15 avril 2006.

E-mail : grett@wanadoo.fr ou blinlery@wanadoo.fr
Site : www.grett.org et www.eurotas.org

IFAT

 ATELIERS D’ANALYSE TRANSACTIONNELLE EN ETE 2006
Du 19 au 25 août 2006
Au village Vacances « Les Cimes du Léman » 74420 Habere-Poche

Une semaine pour découvrir ou approfondir l’Analyse Transactionnelle,
Venir avec ou sans ses enfants,

Prenez votre élan et inscrivez-vous :
Site web : http://ATenEte.free.fr
Contact : Patricia Herman
06 18 20 04 24 ou patricia.herman@laposte.net

 RESISTANCES, RESILIENCE ET EVOLUTIONS
27e congrès de l’IFAT (Institut Français d’Analyse Transactionnelle)
2 et 3 décembre 2006 à Montpellier

 Informations et Contact :
Grace SLOTTJE : 01.39.62.12.56 – slottjeg@aol.com
Pascale BROCVIELLE : 06 79 08 29 61
Secrétaire Générale de l’IFAT

MISES À JOUR

 Registre National des psychothérapeutes
Le Registre ainsi que la liste des psychothérapeutes titulaires du CEP ont été mis à jour le 7 février 2006 !

La prochaine mise à jour aura lieu en juin-juillet 2006.

TÉLÉCHARGEMENTS / DOWNLOADS

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