L’organisation demandait le retrait du site internet de la (Miviludes) de la référence à un ouvrage dénonçant ses pratiques. Le Conseil d’Etat a sestimé que l’atteine invoquée n’était pas suffisamment ‘grave et immédiate’ pour justiier un retrait, seule la quatrième de couverture étant mentionnée sur le site.”