« Localisées, parce que le bouddhisme ressemble beaucoup, structurellement parlant, au protestantisme ; il existe une multitude de groupes et de groupuscules indépendants, ce qui fait que leurs qualités et défauts sont très inégaux et que l’on ne peut incriminer tous les groupes pour les mauvaises pratiques d’une minorité d’entre eux.
Les critiques qui leur sont adressées le plus souvent lorsqu’il s’agit des mouvements plus extrémistes que la moyenne, sont :
C’est que parfois, ils mettent à disposition leurs locaux à des intervenants extérieurs qui peuvent être à l’occasion des militants de mouvements qui ont été répertoriés comme sectes par nos parlementaires par exemple.
Les personnes attirées par ce genre de religiosité et de pratiques ont souvent un profil New Age. Le New Age ou nouvel âge autorise des appartenances multiples dans lesquelles il peut y avoir des sectes. Ceci n’implique pas la responsabilité du groupe qui reçoit, mais il faut être vigilant, car les stagiaires ou séminaristes adeptes de sectes peuvent recruter les autres participants à l’insu souvent des organisateurs.
L’ambiguïté de la relation maître/disciple qui tourne parfois à l’emprise mentale (voir notre article à ce sujet)
En matière de santé, la doctrine bouddhiste s’accorde très bien, voire est à l’origine de nombreuses médecines holistiques, globales, spiritualistes ou parallèles qui n’ont pas de validation scientifique et qui sont mises en œuvre par des gens qui n’ont, la plupart du temps, pas de vraies compétences médicales. Ceci implique dans certains cas de vrais risques pour la santé et des facilités pour opérer des manipulations mentales ».
Source :
http://www.gemppi.org/accueil/questions-réponses.html