Le tribunal correctionnel de Paris avait condamné les pratiques de prosélytisme de la scientologie, tout en autorisant le maintien de ses structures. Le parquet, pour sa part, avait requis la dissolution du Celebrity Centre et sa librairie, les deux principales structures françaises de la scientologie. Mais cette dissolution était en fait inapplicable. « L’assignation déposée par l’Eglise de scientologie fait état de ces réquisitions illégales constituant une faute lourde de la part du procureur, due dans le meilleur des cas à une erreur grossière », a estimé la scientologie dans un communiqué.
L’Eglise de scientologie, qui a déposé cette assignation devant le tribunal de grande instance de Paris, réclame 1 million d’euros de dommages et intérêts.
Source : LE MONDE avec AFP