Cette réunion devait initialement être consacrée à la situation en Ukraine, mais le Conseil des ministres a décidé de changer son ordre du jour.
Le sort des jeunes filles enlevées il y a un mois par la secte islamiste Boko Haram est en effet devenu une préoccupation internationale.
Il s’agit désormais de mobiliser les efforts pour forcer la secte terroriste à les libérer.
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